Infos locales à Saint-Germain

samedi 28 février 2009

François Gérard

François Pascal Simon, baron Gérard, né à Rome le 4 mai 1770 et mort à Paris le 11 janvier 1837, est un peintre d’histoire et un portraitiste néo-classique français.

jeudi 26 février 2009

Philippe-François-Didier Usquin

Philippe François Didier Usquin, baron, (17 mai 1757 dans la Nièvre - 3 février 1843 à Paris), avocat, riche propriétaire terrien sous la Révolution française et le Premier Empire et homme politique français.

* Député de Seine-et-Oise sous la Restauration de 1815 a 1824.
* Maire de Saint-Germain-en-Laye de 1826 a 1830.
* Conseiller général de Seine-et-Oise de 1800 a 1830.
* Propriétaire terrien, il possédait également la compagnie Usquin-mines (sociéte d'exploitation minière créée en 1825 pour les mines de fer de Maurian et autres mines de cuivre et charbon - voir Graissessac)
* Chevalier de la Légion d'Honneur.

mercredi 25 février 2009

François Noël

François-Joseph-Michel Noël, né le 12 janvier 1756 à Saint-Germain-en-Laye et mort le 29 janvier 1841 à Paris, est un humaniste français.

Élève, puis professeur au collège Louis-le-Grand, Noël quitta l’enseignement au début de la Révolution, collabora au journal la Chronique, et remplit diverses missions diplomatiques.

Nommé membre du Tribunat, il le quitta pour aller à Lyon exercer les fonctions de commissaire général de police. En 1801, il fut nommé préfet du Haut-Rhin et, en 1802 inspecteur général de l’instruction publique. Ses ouvrages, très nombreux, furent en grande partie des compilations dont la situation de l’auteur dans l’Université favorisa, le succès.

Noël a donné avec J.-M.-J. de La Place : Conciones poeticæ, ou Discours choisis des poètes latins anciens (Paris, 1803, in-12) ; Leçons françaises de littérature et de morale (1801., 2 vol. in-8°), recueil très souvent réimprimé et longtemps répandu dans tous les collèges ; Leçons latines anciennes (1808, 2 vol. in-8°) ; Leçons latines modernes (1818, 2 vol. in-8°) ; Leçons grecques (1825, 2 vol. in-8°).

mardi 24 février 2009

Jean-Georges Noverre

Jean-Georges Noverre (Paris, 29 avril 1727 - Saint-Germain-en-Laye, 19 octobre 1810) est un danseur et maître de ballet français. Il est considéré comme le créateur du ballet moderne.

Le jour de sa naissance, le 29 avril, est devenu la Journée internationale de la danse[1].

lundi 23 février 2009

Balthazar Martinot

Balthazar Martinot (né à Rouen en 1636, mort à Saint-Germain-en-Laye en 1714) est un horloger français.

Balthazar Martinot, écuyer, valet de chambre-horloger ordinaire de la reine Anne d'Autriche puis horloger ordinaire du roi, était considéré de son temps comme l'un des plus fameux horlogers de toute l'Europe.

Comme l'écrit Tardy : « Avec les Martinot nous avons affaire à la plus longue dynastie de l’histoire de l’horlogerie. Nous nous trouvons en face d’êtres d’une exceptionnelle longévité et d’une fécondité non moins exceptionnelle qui, durant près de deux siècles, ont tenu des emplois officiels ». (voir TARDY, Dictionnaire des horlogers français, Paris, 1971, sub verbo MARTINOT).

Balthazar Martinot avait épousé Anne Belon, fille de Pierre Belon également valet de chambre-horloger ordinaire de la reine.

Il naquit à Rouen en 1636 et était le fils de l'horloger Balthazar Martinot le Vieux (1610-1697) et de Catherine Hubert, fille de l'horloger Noël Hubert (1612-1650), gouverneur du Gros Horloge de Rouen et fondateur en cette ville d'une célèbre dynastie d'horlogers. Plusieurs membres de cette famille Hubert, restés huguenots, ont émigré à La Haye, Amsterdam, Genève, Leiden ou Londres.

Balthazar Martinot mourut à Saint-Germain-en-Laye en 1714.

dimanche 22 février 2009

Louis de Buade de Frontenac

Louis de Buade, comte de Frontenac est né au château de Saint-Germain-en-Laye en France le 22 mai 1622. Nommé gouverneur de la Nouvelle-France, il développe la colonie et la défend contre les attaques anglaises. Il meurt à Québec en 1698.

samedi 21 février 2009

Guillaume Tirel

Guillaume Tirel, dit Taillevent, né à Pont-Audemer en 1310 et mort en 1395, est un cuisinier français.

Taillevent fut enfant de cuisine de Jeanne d'Évreux, queux du roi Philippe de Valois et du duc de Normandie, premier queux et sergent d’armes de Charles V et premier écuyer de cuisine du roi. C’est à lui sans doute que doit s’appliquer une pièce conservée au Trésor des chartes, et qui atteste qu’en 1362, le duc de Normandie donna à Guillaume Tirel, dit Taillevant, son queux, la somme de cent francs d’or pour ses bons et agréables services, et pour qu’il achetât une maison en la ville de Paris afin d’être plus près à servir le duc.

En 1381, il entre au service de Charles VI comme premier écuyer de cuisine du roi qui l’anoblit et auprès de qui il deviendra, en 1392, Maistre des garnisons de cuisine du Roi.

Il est communément donné pour l’auteur du Viandier, considéré comme le plus ancien livre de recette français, écrit à la demande de Charles V, donc avant 1380. La plus ancienne version qui nous reste est datée du XVe siècle, mais l’original aurait été écrit au XIIIe siècle.

Il mourut en 1395 et sa tombe est visible au musée de Saint-Germain-en-Laye. François Villon a immortalisé ce grand cuisinier par deux vers de son Testament :

« Si allé veoir en Taillevent Au chapitre de fricassure ».

Taillevent est aussi le nom d’un prestigieux restaurant gastronomique parisien.

vendredi 20 février 2009

Louis de Noailles

Louis de Noailles, comte d'Ayen puis (1737-1766) 1er duc d'Ayen puis (1766) 4e duc de Noailles, marquis de Montclar et de Maintenon, comte de Nogent-le-Roi, baron de Chambres, est un maréchal de France, né à Versailles le 21 avril 1713 et mort à Saint-Germain-en-Laye le 22 août 1793.

jeudi 19 février 2009

Adrien Maurice de Noailles

Adrien Maurice de Noailles, comte d'Ayen puis (1708) 3e duc de Noailles, marquis de Montclar, comte de La Motte-Tilly et de Nogent-le-Roi, vicomte de Carlux, est un militaire français né le 29 septembre (ou 22 septembre ?) 1678 et mort le 24 juin 1766.

mercredi 18 février 2009

Anne Jules de Noailles

Anne Jules de Noailles, comte d'Ayen puis (1678) 2e duc de Noailles, est un maréchal de France, né le 5 février 1650 dans le Cantal, et mort le 2 octobre 1708 à Versailles.

mardi 17 février 2009

Jacques II d'Angleterre

Jacques Stuart (James), né le 14 octobre 1633 au Palais St. James (Londres), mort le 16 septembre 1701 à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines, France), fut roi d'Angleterre (Jacques II d’Angleterre) et d’Écosse (Jacques VII d’Écosse) de 1685 à 1689.

Malgré un règne de seulement trois ans, Jacques II a joué un rôle majeur dans l'histoire anglaise, car il été rejeté massivement lors de la Glorieuse révolution de 1688, au cours de laquelle les intellectuels whigs décident d'appeler à l'aide les Hollandais et les réfugiés huguenots français en Hollande pour se débarrasser du dernier représentant de la dynastie catholique Stuart. Cousin et ami proche de Louis XIV, il trouve asile en France, avec une importante colonie de soldats jacobites (le nom vient du sien), installés à Nantes, d’où ils préparent les tentatives de reconquête de 1692, 1707, 1711 et 1746. Ses fidèles amis de la dynastie marchande des Irlandais de Nantes, menée par Anthony Walsh, père et fils, prirent le relais et jouèrent un rôle central dans l'expansion coloniale du XVIIIe siècle aux Antilles.

lundi 16 février 2009

Philippe de France (1640-1701)

Philippe de France (né le 21 septembre 1640 à Saint-Germain-en-Laye, mort le 9 juin 1701 au château de Saint-Cloud), est un prince de France, fils de Louis XIII et frère de Louis XIV.

Il est généralement désigné sous ses titres de duc d'Orléans ou Monsieur.

Ses descendants directs forment la branche d'Orléans.

dimanche 15 février 2009

Louis XIV de France

Louis XIV, nommé à sa naissance Louis-Dieudonné et surnommé par la suite le Roi-Soleil ou encore Louis le Grand (Saint-Germain-en-Laye, 5 septembre 1638 – Versailles, 1er septembre 1715) est, du 14 mai 1643 jusqu’à sa mort, roi de France et de Navarre, le troisième de la maison de Bourbon de la dynastie capétienne. Louis XIV, qui a régné pendant 72 ans, est le chef d'État qui a gouverné la France le plus longtemps. Il est aussi le monarque qui a régné le plus longtemps en Europe.

Louis XIV accède au trône quelques mois avant son cinquième anniversaire, mais, après une minorité très marquée par la révolte de la Fronde (1648-1652), il n’assume personnellement le contrôle du gouvernement qu’à partir de la mort de son ministre principal, le Cardinal Mazarin, en 1661. Il ne prit jamais plus de ministre principal et accentua encore son rôle direct dans l'État après la mort de ses puissants ministres Colbert (1683) et Louvois (1691). Son règne marqua l'apogée de la construction séculaire d'un absolutisme royal de droit divin. Louis XIV vit son autorité absolue bénéficier de la fin historique des grandes révoltes nobiliaires, parlementaires, protestantes et paysannes, qui marquaient la vie du royaume depuis plus d'un siècle.

Louis XIV a accru le territoire de la France et sa puissance en Europe. Il mène la diplomatie et la guerre à son gré en combattant durant plusieurs séries de guerres européennes. Il fait fortifier les villes conquises par Vauban et entoure ainsi les nouvelles frontières de leur « ceinture de fer », dans le cadre d'une politique territoriale de « pré carré » qui redessine et rationalise les limites du pays. Son gouvernement personnel coïncide également avec un effort de développement économique, commercial et colonial, mené notamment par son ministre Colbert, et qui est le volet économique de la recherche de la prédominance française. Sous son règne, la France acquiert une prééminence européenne non seulement politique et militaire mais aussi culturelle grâce à la présence de figures intellectuelles protégées par le mécénat royal, telles que Molière, Racine, Boileau, Lully, Le Brun et Le Nôtre. D'autres, plus indépendants, tels le poète La Fontaine, le philosophe Blaise Pascal, l'épistolaire Madame de Sévigné, le moraliste La Bruyère ou le mémorialiste Saint-Simon font également du règne l'apogée historique du classicisme français. Ces performances culturelles contribuent au prestige de la France, de son peuple, de son langage parlé par les élites et dans toutes les cours d'Europe, et bien sûr de son roi. Il est dès son vivant parlé du « siècle de Louis XIV », sur le modèle des siècles de Périclès et d'Auguste, ou encore du « Grand Siècle ».

samedi 14 février 2009

Louis XIII de France

Louis XIII dit le Juste (27 septembre 1601, Fontainebleau-14 mai 1643, Saint-Germain-en-Laye), roi de France et de Navarre (1610-1643). Il est le fils d'Henri IV et de Marie de Médicis et le père de Louis XIV.

Son règne est marqué par l'abaissement des Grands et des protestants, ainsi que par la lutte contre la maison de Habsbourg. L'image de ce roi est inséparable de celle de son principal ministre, le cardinal de Richelieu, son soutien indéfectible dans le redressement de la monarchie française.

vendredi 13 février 2009

Henri IV de France

Henri IV, né Henri de Bourbon (13 décembre 1553 à Pau - 14 mai 1610 à Paris) fut roi de Navarre (Henri III de Navarre, 1572-1610) puis roi de France (1589-1610), premier souverain français de la branche dite de Bourbon de la dynastie capétienne.

Il était le fils de Jeanne III, dite Jeanne d'Albret, reine de Navarre et d'Antoine de Bourbon, chef de la maison de Bourbon, descendant du roi Louis IX et premier prince de sang[1]. En vertu de la « loi salique » cette filiation fera d'Henri le successeur naturel du roi de France à la mort de François, duc d'Anjou (frère et héritier du roi Henri III), en 1584.

Contemporain d'un siècle ravagé par les guerres de religion, il y fut d'abord lourdement impliqué en tant que prince de sang et chef protestant avant d'accéder au trône de France. Pour être accepté comme roi, il se convertit au catholicisme, et signa l'Édit de Nantes, le premier traité de paix autorisant la liberté de culte pour les protestants, qui mit fin pendant deux décennies aux guerres de religion. Il fut assassiné le 14 mai 1610 par un fanatique, François Ravaillac, rue de la Ferronnerie à Paris.

jeudi 12 février 2009

Charles IX de France

Charles IX de France, né Charles-Maximilien de France (né le 27 juin 1550 au château royal de Saint-Germain-en-Laye, mort le 30 mai 1574 au château de Vincennes) fut nommé d'abord duc d'Angoulême puis duc d'Orléans après la mort de son frère Louis de France, de 1550 à 1560 puis roi de France de 1560 à 1574.

Il est le quatrième roi de la famille des Valois-Angoulême.

Charles IX de France est le 3e fils et le 5e des 10 enfants d'Henri II (1519-1559), roi de France de 1547 à 1559 et de Catherine de Médicis (1519-1589). Sous son règne, le royaume est déchiré par les guerres de religion, malgré tous les efforts déployés par Catherine de Médicis pour les empêcher.

mercredi 11 février 2009

Jeanne III de Navarre

Jeanne III de Navarre, couramment appelée Jeanne d'Albret, née le 7 janvier 1528 à Saint-Germain-en-Laye, morte le 9 juin 1572 à Paris, fut reine de Navarre de 1555 à 1572.

Elle était fille d'Henri II (1503-1555) dit Henri d'Albret, roi de Navarre (1517-1555) et de Marguerite de France (1492-1549), dite Marguerite d'Angoulême, sœur aînée du roi de France François Ier.

mardi 10 février 2009

Marguerite de France (1523-1574)

Duchesse de Berry en 1550, elle épousa en 1559 Emmanuel-Philibert (1528 † 1580), duc de Savoie, prince du Piémont, et eut un fils, Charles Emmanuel Ier (1562 - † 1630)

À la cour de son père, Marguerite se lia d'amitié avec sa tante la reine de Navarre Marguerite et avec Catherine de Médicis, sa belle-sœur, formant avec elles un cercle intellectuel. L'influence de ce milieu lui donna un petit penchant pour la Réforme, mais elle ne l'assuma jamais.

Marguerite fut fiancée jeune avec Maximilien de Habsbourg après la paix de Cambrai, mais le mariage ne se fit finalement pas.

Fin 1538, son père François Ier et Charles Quint s'entendirent pour qu'elle épouse Philippe, fils unique de Charles Quint, futur Philippe II d'Espagne. Mais l'entente entre le roi de France et l'empereur fut de courte durée.

François Ier puis Henri II peinèrent par la suite à lui trouver un prétendant de son rang. Marguerite ne fut mariée au duc de Savoie qu'à l'âge de trente-six ans, le 10 juillet 1559. Son mariage fut – sans doute – le plus triste qu'on ait jamais vu. En effet, son frère le roi Henri II avait été blessé au cours d'un tournoi célébrant les noces de sa fille Élisabeth. Sur le seuil de la mort mais encore conscient, le roi avait imposé que le mariage se fît tout de suite, par peur que le duc de Savoie ne profitât de sa mort pour refuser l'alliance. Henri II meurt le jour du mariage de sa sœur.

lundi 9 février 2009

Henri II de France

Henri II (né à Saint-Germain-en-Laye, le 31 mars 1519 et mort le 10 juillet 1559 à Paris), est roi de France de 1547 à sa mort. Deuxième fils de François Ier et de Claude de France, il devient l'héritier du trône à la mort de son frère aîné en 1536. Il reçoit alors les titres de dauphin et de duc de Bretagne. Couronné roi de France le 25 juillet 1547 à Reims, il prend comme emblème le croissant de lune, qui est depuis toujours celui de la maison d'Orléans, dont est issu Henri II, étant le fils cadet de François 1er (et non pas l'emblème de Diane de Poitiers, comme on a pu souvent le croire). Ses devises sont : Plena est œmula solis, (L'émule du soleil est pleine), et Donec totum impleat orbem, (Jusqu'à ce qu'elle remplisse le monde entier).

Roi tout à fait représentatif de la Renaissance française, Henri II poursuit l'œuvre politique et artistique de son père. Il continue les guerres d'Italie, en concentrant son attention sur l'empire de Charles Quint qu'il parvient à mettre en échec. Henri II maintient la puissance de la France mais son règne se termine sur des évènements néfastes comme la défaite de Saint-Quentin (1557) et le traité du Cateau-Cambrésis qui met un terme au rêve italien.

Son règne marque également l'essor du protestantisme qu'il réprime avec davantage de rigueur que son père. Devant l'importance des adhésions à la Réforme, Henri II ne parvient pas à régler la question religieuse, qui débouche après sa mort sur les guerres de religion.

Il meurt accidentellement à l'âge de quarante ans seulement, d’une blessure reçue lors d’un tournoi à l'hôtel des Tournelles à Paris.

dimanche 8 février 2009

François Ier de France

François Ier (1494 - 1547), dit le Père et Restaurateur des Lettres, le Roi Chevalier, le Roi Guerrier, le Grand Colas, le Bonhomme Colas ou encore François au Grand Nez[1], est sacré roi de France le 25 janvier 1515 dans la cathédrale de Reims, et règne jusqu’à sa mort en 1547. Fils de Charles d’Angoulême et de Louise de Savoie, il appartient à la branche de Valois-Angoulême de la dynastie capétienne.

François Ier est considéré comme le monarque emblématique de la période de la Renaissance française[2]. Son règne permet un développement important des arts et des lettres en France.

Sur le plan militaire et politique, le règne de François Ier est ponctué de guerres et d’importants faits diplomatiques.

Il a un puissant rival en la personne de Charles Quint et doit compter sur les intérêts diplomatiques du roi Henri VIII d’Angleterre toujours désireux de se positionner en allié de l’un ou l’autre camp. François Ier enregistre succès et défaites mais interdit à son ennemi impérial de concrétiser ses rêves, dont la réalisation toucherait l’intégrité du royaume. Les efforts des deux souverains catholiques pour se combattre l’un l’autre ont de lourdes conséquences pour l’Occident chrétien en limitant la répression de la Réforme naissante.

Au plan intérieur, son règne coïncide en effet avec l'accélération de la diffusion des idées de la Réforme. La mise en place de la monarchie absolue et les besoins financiers liés à la guerre et au développement des arts induisent la nécessité de contrôler et optimiser la gestion de l'état et du territoire. François Ier introduit une série de réformes touchant à l'administration du pouvoir et en particulier à l'amélioration du rendement de l'impôt, réformes mises en œuvre et poursuivies sous le règne de son successeur Henri II.

samedi 7 février 2009

Louis IX de France

Louis IX de France, plus connu sous le nom de saint Louis, est né le 25 avril 1214 à Poissy, et mort le 25 août 1270 à Tunis pendant la huitième croisade. Il fut roi de France de 1226 à 1270, neuvième de la dynastie des Capétiens directs.

Il développa notamment la justice royale où le roi apparaît alors comme "le justicier suprême".

Il est le fils de Louis VIII (1187-1226), dit Louis le Lion, roi de France, et de Blanche de Castille (1188-1252). Il est aussi le frère aîné de Charles Ier de Sicile (1227-1285), comte d'Anjou, qui fonda la seconde dynastie angevine.

vendredi 6 février 2009

Louis VI de France

Il est le fils de Philippe Ier (1052-1108), roi des Francs et de sa première épouse Berthe de Hollande[3].

Après avoir répudié Berthe en 1092 et malgré les protestations du clergé[4], son père se remarie la même année[5] avec Bertrade de Montfort, comtesse d'Anjou. De cette deuxième union naissent quatre enfants, dont deux fils.
Louis, jeune prince issu du premier mariage de son père, est élevé avec Suger, futur abbé de Saint-Denis, qui devient son ami proche, puis son conseiller.
Après avoir été adoubé chevalier le 24 mai 1098 à Abbeville, Louis est associé au trône puis combat le duc de Normandie et les sires châtelains du domaine royal qui sont souvent rebelles à l'autorité royale.
Le 29 juillet 1108, son père meurt à Melun, et suivant sa dernière volonté, est inhumé en l'église abbatiale de Saint-Benoît-sur-Loire. Dès l'enterrement terminé, Louis, se doutant que son demi-frère, Philippe de Montlhéry, risque de l'empêcher d'accéder à Reims, se hâte de rejoindre Orléans située à quelques kilomètres de Saint-Benoît, afin de se faire sacrer au plus vite. Une raison supplémentaire de ne pas se rendre à Reims était que l'actuel archevêque de Reims, Raoul le Vert avait été soutenu par le pape Pascal II mais n'avait pas été reconnu par feu Philippe Ier qui lui préférait Gervais de Rethel[6].

Le sacre a lieu le 3 août 1108 dans la cathédrale, il reçoit « l’onction très sainte » de la main de Daimbert, l’archevêque de Sens. L'archevêque de Reims, Raoul le Vert envoya des messagers pour contester la validité du sacre, mais il était trop tard.

Louis VI encourage les mouvements communaux, associations professionnelles sociales ou religieuses. Dès 1110, il octroie aux habitants des villes divers avantages fiscaux et le droit de s'administrer sous la direction d'un maire. En 1111 il lutte contre le brigandage perpétré par certains seigneurs tels que Hugues du Puiset à l'intérieur du domaine royal.

Le dimanche des Rameaux 1115, il est présent à Amiens, pour soutenir l'évêque et les habitants de cette ville dans leur conflit avec le célèbre Thomas de Marle, lequel est intervenu militairement à la demande de son père Enguerrand de Boves, comte d'Amiens et seigneur de Coucy. Ce dernier refuse de reconnaître l'octroi d'une charte accordant des privilèges aux habitants de la commune[7]. Arrivé avec une armée pour aider les bourgeois à faire le siège du Castillon (forteresse dominant la ville d'Amiens, à partir de laquelle le père et le fils partaient en « expéditions punitives »), Louis VI reçoit une flèche dans son haubert, puis part sans vaincre les assiégés réfugiés dans la tour réputée imprenable qui ne tombe que deux années plus tard.

En août 1124, l’empereur germanique Henri V voulant aider son beau-père Henri Ier d'Angleterre dans le conflit qui l'oppose à Louis VI pour la succession dans le duché de Normandie, envahit la France et avance avec une puissante armée jusqu'à Reims. Face à la menace germanique et pour la première fois en France, Louis VI fait appel à l’ost. Dans un même élan patriotique, tous ses grands vassaux répondent présent : son cousin, le comte de Vermandois Raoul le Borgne, le duc Hugues le Noir de Bourgogne, le duc Guillaume IX d’Aquitaine, le comte Charles Ier de Flandre, le comte Conan III de Bretagne, le comte Foulque V d'Anjou, le comte de Champagne Hugues de Troyes, le comte Guillaume II de Nevers et même le comte de Blois, Thibaud II. Après avoir été chercher l'oriflamme à Saint-Denis, Louis VI se retrouve à la tête d’une immense armée mais l’affrontement, que tout le monde pensait pourtant inévitable, ne se fait pas. Henri V certainement impressionné par une telle mobilisation et prétextant des troubles dans sa capitale de Worms, se retire sur Metz le 14 août sans combattre.

Alors qu'il rentre d'une expédition punitive contre le seigneur pillard de Saint-Brisson-sur-Loire près de Gien, Louis le Gros tombe soudainement malade au château de Béthisy-Saint-Pierre situé dans la vallée de l'Autonne, en forêt de Compiègne, entre Senlis et Compiègne. Il y trépasse le 1er août 1137, d'une dysenterie causée par l'excès de bonne chère, qui l'avait rendu obèse. Son fils Louis, qui voulait être moine, va lui succéder.

jeudi 5 février 2009

Canton de Saint-Germain-en-Laye-Sud

Le canton de Saint-Germain-en-Laye-Sud est une division administrative française, située dans le département des Yvelines et la région Île-de-France.

Composition [modifier]

Le canton de Saint-Germain-en-Laye-Sud comprend trois communes :

* Aigremont : 873 habitants,
* Chambourcy : 5 077 habitants,
* Saint-Germain-en-Laye, fraction de commune : 20 450 habitants (chef-lieu de canton).

mercredi 4 février 2009

Canton de Saint-Germain-en-Laye-Nord

Le canton de Saint-Germain-en-Laye-Nord est une division administrative française, située dans le département des Yvelines et la région Île-de-France.

Composition [modifier]

Le canton de Saint-Germain-en-Laye-Nord comprend deux communes :

* Achères : 18 942 habitants,
* Saint-Germain-en-Laye, fraction de commune : 17 973 habitants (chef-lieu de canton).